Les promesses du Hezbollah et le découragement du régime sioniste
Le 14 aout est le jour de la victoire du Hezbollah et de la résistance après 33 jours d’attaques du régime sioniste en 2006.
Cette guerre appelée au Liban « Guerre de Tamouz » était le résultat d’une coopération entre les États-Unis, l’Angleterre, la France, le régime sioniste, l’Égypte, la Jordanie, l’Arabie saoudite et des membres de l’Alliance libanaise du 14 mars.
Cette guerre avait débuté le 12 juillet 2006, dans les régions sud du Liban et s’était étendue à Beyrouth, dans les hauteurs du Golan, en Syrie et en Palestine.
Cette guerre fut l’occasion pour le Hezbollah de réaliser ses promesses sur la libération des prisonniers libanais.
Lors de l’attaque israélienne contre les positions du Hezbollah et les infrastructures libanaises, le régime sioniste attaqua 420 cibles et fit 1126 victimes dont des enfants.
C’est alors que Seyed Nasrollah, secrétaire du Hezbollah, menaça de lancer des missiles au cœur d’Israël sur la ville d’Haïfa et les villes de cette région, suivi par le bombardement d’un vaisseau de guerre israélien qui obligea la flotte israélienne à reculer.
Les derniers jours de cette guerre, Israël qui avait perdu tout espoir de victoire, tenta d’ouvrir la voie aux tanks Merkava dont 61 furent détruits.
Les violences se sont arrêtées au Liban le lundi 14 août 2006 avec l'application d'une partie des mesures de la résolution 1701 (2006) de l'ONU et le retrait des forces sionistes, suivi d’une guerre politique et d’attentats des sionistes contre des personnalités du Hezbollah et diverses attaques contre le sud du Liban.
Israël n’a réussi dans aucun de ses objectifs et n’a fait qu’affaiblir sa réputation militaire et la réputation de ses tanks dont les ventes ont chuté sur le marché mondial, dénonçant ainsi la faiblesse de ses services de renseignement, de son armée et de ses dirigeants.
